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Chevaux, poneys ...
et autres équidés

Parce que sa domestication est très récente (à peine 4500 ans !), le cheval conserve encore à ce jour les mêmes comportements naturels qui lui ont permis de survivre en tant qu’animal-proie pendant des millénaires, notamment  :

- son hypersensibilité sensorielle et émotionnelle le maintenant en permanence aux aguets,

- ses qualités relationnelles adaptées à son mode de vie grégaire au sein d’un troupeau qui assure sa sécurité et son confort.

Dès la préhistoire, le cheval est source d'inspiration artistique pour l'homme. Plus tard, ses capacités de mobilité et de transport seront déterminantes dans la naissance des civilisations. 

 

Considéré comme « la plus noble conquête de l’homme », il imprègne puissamment notre mémoire collective, notre imaginaire et les mythes transculturels de notre humanité.

Son mode de communication ? Le langage corporel.

 

Par son hypersensibilité, il est capable de percevoir en nous les infimes manifestations physiques qui traduisent nos états internes. 

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Ainsi, par l’observation de ses réactions et l’écoute de nos propres ressentis, il nous aide à prendre conscience de la richesse de notre nuancier émotionnel.

 

Par ailleurs, la figure du cheval a une portée symbolique forte dans notre inconscient collectif. Les images qui le représentent sont riches, complexes car parfois contradictoires. Il est à la fois vitalité et puissance, donc signes de virilité, mais aussi figures maternantes par la douceur et la chaleur de son corps, les bercements ressentis lorsqu’il nous porte.

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Le cheval ne laisse pas indifférent. 

Il ne connaît pas les mondanités. Ses réactions sont spontanées, authentiques, sans a priori, ni jugement. 

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En se basant sur les singularités du monde équin, l’équithérapie propose une occasion de découvertes et de changements personnels, dans un objectif d'améliorer la qualité de vie.

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